Il y a le combat qui tue et celui qui fait vivre. Il y a des guerres d'anéantissement sur la ruine des quelles éclaire de sa lampe d'argile la parole du poète. Feu d'une rive. Feu de tout bois sur les ruines apocryphes. Le souffle qui tue et celui qui fait vivre. Celui qui ne revient pas, et celui qui relance le suivant. L'éclat, le combat, l'ouvert. Celui-là appelle au dépassement des parties prenantes au combat dans un troisème terme qui n'existait pas auparavant. Le monde est issu d'un combat phusis teckné. L'éclat du combat scintille l'irrépressible nouveauté, s'élève dans la brume des ages murs, l'épiphanie glorieuse d'un nouveau temps.
Le combat est père de toute chose.
jeudi 24 mai 2007. Lien permanent Politique
Héraclite, Aristote, Kant, Heidegger, Arendt.
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